Quand en bordure du jour tu craques une tache lumineuse

Lorsque dans la nuit ton œil froid sourit

Au moment où tu crées un clairière en sous bois

Après que tu attaches une grappe de rayons aux conifères

Quand tu dessines un étang « canard » avec l’ombre du photographe

Lorsque tu perces une fenêtre d’une grande endormie

Tu me fais croire qu’après le blanc viendra le vert

Que je t’aime!